Résumé
Raphaël arrive au petit Port de Niel, très typique, non loin de Porquerolles et de l’île de Port Cros. Il embarque à bord du bateau de Cédric et profite du panorama : la méditerranée est face à lui, un véritable joyau couleur émeraude. Cédric va lui faire découvrir les trésors et les endroits cachés dont recèle l’archipel des îles d’or.
Ils se dirigent ensuite vers l’île de Porquerolles, la plus connue et la plus fréquentée des trois îles. Avant d’y marquer un arrêt, Cédric lui montre l’arrière de l’île, sauvage, retirée : son petit coin de paradis. Ils arrivent à l’embarcadère et Cédric l’entraîne dans un petit village typique à la rencontre de ceux qui font vivre Porquerolles
Il propose ensuite à Raphaël de terminer sa visite sur le continent sur la presqu’île de Giens, qui s’apparente à une petite Camargue et dont il est originaire.
Raphaël quitte ensuite la presqu’île de Giens en longeant le tombolo, curiosité naturelle de la région, et ses marais salants. Il prend la route en direction de Saint-Tropez et arrive sur le petit port en plein éveil : les pointus des pêcheurs aux couleurs chatoyantes y cohabitent avec les yachts de luxe, les offshore et les voiliers de course.
Ils prennent la direction des plages, car Laurent souhaite lui montrer cet autre aspect de Saint Tropez, sauvage, loin des clichés « jet-set ». Saint-Tropez est selon lui « l’un des coins les plus sauvages de Provence où se juxtaposent plusieurs vies sans que personne ne se gêne ».
Ils s’arrêtent au cimetière marin, où reposent de nombreux artistes et ancien généraux, témoignage d’un passé artistique et maritime.
Leur journée s’achève sur la place des Lices, à la terrasse de « Le café », institution tropézienne qui rassemble habitués et touristes. Sur la place, les boulistes sont en pleine partie de pétanque.
Il est tôt ce matin quand Raphaël arrive dans le vieux Nice. Les façades des immeubles piémontais aux couleurs ensoleillées s’éveillent tranquillement. Raphaël a rendez-vous avec Christian, l’unique fleuriste itinérant de Nice, en train de préparer sa carriole pour la journée ! Il propose à Raphaël de l’accompagner à la rencontre de ses clients.
Ensemble, ils se dirigent vers le cours saleya, en longeant la promenade des Anglais où se tiennent tous les jours les marchés aux fleurs et aux fruits et légumes.
Ils entament ensuite leur tournée dans les ruelles du Vieux Nice. Comme à son habitude, Christian est fier de ne proposer que des fleurs de la région.
Christian entraîne Raphaël vers le port, jouxtant la vielle ville, où parait-il on y déguste la meilleure socca de tout le comté ! Les habitués s’y donnent rendez-vous enfin de journée, après la sortie des bureaux. Elle se déguste simplement avec un peu de poivre et accompagnée d’un bon verre de rosé de Provence.
Raphaël rejoint Mathilde dans une chapelle de Nice. Comme à son habitude, elle aime rentrer dans les églises pour y tester l’acoustique. C’est le « jeu » qu’elle pratique avec les six autres choristes qui forment le groupe « Stoufa Gari ». Elle lui propose ensuite de lui faire vivre et ressentir ces traditions « nissart » qui vivent encore dans tout le comté de Nice.
Sur la place non loin, des joueurs de mourra sont justement en train d’y pratiquer leur discipline préférée. Les mains claquent sur les tables, des acclamations en patois résonnent ça et là : Raphaël découvre ce jeu peu commun qui remonte à la nuit des temps.
Raphaël est ensuite invité à Monaco pour le Grand prix historique mettant à l’honneur des voitures de sport et de grand prix de collection. Pour s’y rendre, rien de plus simple que d’emprunter l’hélicoptère qui rallie Nice à Monaco plusieurs fois par jour en 7 minutes chrono.
Raphaël profite de la vue sur la Côte d’azur et en profite pour engager la discussion avec le pilote. La baie de Monaco s’offre sous leurs yeux et Raphaël découvre le fameux rocher et son palais princier. Jean-Pierre l’attend à la descente de l’hélicoptère et l’accueille chaleureusement dans sa ville d’adoption.
Dans les stands et les paddocks, Jean-Pierre est un incontournable au sein de l’organisation du circuit et invite Raphaël à faire la connaissance de quelques pilotes et collectionneurs passionnés. Ensemble, ils assistent aux derniers préparatifs avant le début de la course.
Raphaël se promène sur les remparts d’Antibes, profitant d’une vue surplombant le golfe de Juan-les-Pins. Il profite du beau temps et de cette Côte d’Azur qui s’étend devant lui.
Il reprend ensuite la route en longeant la corniche d’or, qui le mène jusqu’à Vallauris, petit village connu pour ses potiers et ses orangers bigaradiers qui ne poussent pas partout. Renée l’accueille au centre du village, sur la place de l’église devant la statue de Picasso : l’homme au mouton, une fierté pour tous les Vallauriens.
Elle l’invite ensuite à se rendre dans sa propriété pour lui faire découvrir le jardin et ses orangers en fleurs, avant qu’ils rejoignent ensemble le centre du village où a lieu la Fête annuelle des Fleurs d’Orangers.