Résumé
Jérôme est à bord d’une navette, dans la baie de Fort-de-France, classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il est accompagné de Fabien, son guide pour le début du voyage.
Ils marchent le long de la promenade de la plage de Fort-de-France, appelée Malécon, lieu de rdv populaire.
Au pied du Fort Saint-Louis, Fabien raconte à Jérôme les grandes lignes de l’histoire de son île.
Ancien cuisinier, Fabien tient maintenant à emmener Jérôme en direction du plus emblématique des 5 marchés de la ville : le grand marché couvert (1885).
Arrivés au lodge , ils sont accueillis par Leslie, la femme et associée de Fabien.
Ce soir, ce sont les 20 ans de la nièce de Fabien, Anaïs.
Leslie propose à Jérôme de prendre part aux préparatifs et à la fête.
Ils arrivent au port de Sainte Luce, et ils découvrent plusieurs pêcheurs occupés à vendre le fruit de leur travail matinal.
De retour à la maison d’hôte, en cuisine, Jérôme et Leslie se proposent d’être les commis de Fabien. Un moyen sympathique pour Jérôme de s’initier à la cuisine créole. Fruits exotiques, épices, poissons, il y a de quoi se régaler.
Le repas est prêt. Jérôme porte la glacière, Leslie une nappe et des plaids, Fabien les hamacs. Ils rejoignent à pied le reste de la famille déjà rassemblée sur la plage à 200m de leur maison…
Dans l’un des ports du François, dans le quartier Dostaly, Jérome rencontre Fred, pêcheur et habitant de l’îlet Long, pour lui demander de l’emmener sur les îlets.
Les deux hommes embarquent sur la yole et prennent le large.
Voici l’îlet Pelé, le plus petit des îlets de Martinique. Ici vit en solitaire François.
Fred débarque sur l’îlet avec Jérôme et donne à François les quelques courses qu’il lui avait commandé. François dispose aussi d’un bateau, il propose à Jérôme de découvrir son havre de paix.
Dans l’atelier, Jérôme découvre les dessins de François et par la même occasion, se familiarise avec l’histoire de la Martinique.
Jérôme et François sont à nouveau en bateau dans le lagon.
Ils se dirigent vers l’îlet Métrente, à la rencontre de Gérald.
Tous les trois s’équipent de palme, masque et tuba, et plongent au pied de l’îlet. Après 100 mètres de nage, Gérald promet la découverte d’une forêt de corail mou sublime.
Jérôme n’est pas déçu. Il profite d’une belle promenade sous-marine.
Le lendemain, Jérôme arrive en voiture dans la ville de Basse-Pointe, l’un des points de départs des sentiers de randonnée agricoles autour de la Montagne Pelée.
Il a rendez-vous avec Joseph, son guide, sur le port de Basse-Pointe.
Joseph raconte à Jérôme sa passion pour la randonnée au fil des kilomètres.
Dans le décor, entre les arbres se dessine la fameuse Montagne Pelée.
Finalement, en arrivant au pied de la colline, se dévoile un ensemble de bâtiments d’époque…
Bienvenue à la distillerie JM !
Plus tard, après une courte dégustation, Jérôme et Joseph sont à pied autour d’une habitation.
Ils s’approchent d’un temple où plusieurs personnes se rassemblent. C’est une maison colorée devant laquelle des musiciens s’en donnent à cœur joie. Une cérémonie va débuter.
Dans le petit temple, Jérôme découvre des figurines qui représentent les divinités. Claude lui explique qu’elles ont été taillées dans la roche locale il y a des décennies. C’est le patrimoine laissé par les premiers indiens.
Joseph et Jérôme. Ils arrivent à Grand Rivière, charmant village de la pointe de l’île, considéré comme l’ultime étape avant la mer des Caraïbes…
Joseph et Jérôme marchent sur la plage de sable noire, spécifique aux plages entourant le volcan Pelée. Ils profitent d’une vue imprenable sur la mer.
Jérôme le remercie pour son accueil.
Jérôme arrive à la maison de la canne, musée reconverti en lieu de rassemblement de l’association « Wélélé bann’ pour le carnaval. Il se présente à Miguel, son guide sur le carnaval.
Miguel entreprend les retouches des costumes avec quelques membres présents malgré l’heure bien matinale.
Aujourd’hui, c’est mardi gras !
Le thème du carnaval cette année c’est les bonbons pays. Et pour mardi le code couleur est le rouge et blanc. La troupe de Miguel a choisi de se déguiser en « pluie sanguine »avec des bandelettes de tissu de couleur rouge. Ces tissus sont recyclés, comme il est d’usage.
Il est temps de se mettre en route. Miguel, Jérôme et les autres carnavaliers montent dans le bus pour Fort-De-France.
Le carnaval est en cours. Musiciens, danseurs, s’en donnent à cœur joie. C’est la dernière occasion de se défouler, de chanter, de se déguiser.
Le soleil décline, le roi Vaval est mis à feu, symbole de la fin des festivités. A l’année prochaine !