Retour à la liste

Le long du Canal du midi

Résumé

Tiga longe le Canal du Midi et arrive au pied de la « Vinke Zor », la péniche de Christine amarrée à Toulouse .

C’est avec elle que Tiga va avoir un premier aperçu du canal du midi. Christine lui raconte comment elle est tombée amoureuse de sa vie en péniche. Le Canal du Midi, elle le connaît par cœur. « Je ne me lasse pas de naviguer ici, c’est magnifique. »

Aujourd’hui, les écluses du canal sont automatisées. La procédure de fonctionnement est donc très simple… Un bouton suffit pour ouvrir l’écluse.

Tiga se balade ensuite seule autour du Bassin de Saint-Ferréol. Cet endroit est très prisé des randonneurs qui profitent des alentours du bassin pour marcher à l’ombre des pins.

Elle retrouve Thomas, au milieu du barrage de Saint-Ferréol. Ce lieu est hautement symbolique puisque ce barrage est l’un des principaux réservoirs pour l’alimentation du canal du midi. Thomas Fourès (36 ans) est un instructeur de planeur. Passionné d’aviation depuis l’enfance, il décide il y a quatre ans de rejoindre le club de vol à voile de Revel. Plutôt que de piloter un avion, il préfère cette discipline, bien plus sportive à son goût

A la main, Tiga et Thomas poussent le planeur hors du hangar. Le planeur est ensuite accroché à un avion à moteur, qui va servir à la tractation pour s’élancer.

Tiga s’aproche et rentre dans les ateliers très rustiques de la poterie. Elle rencontre Jean-Pierre, un des frères Not, en plein travail. Ici, on travaille de la même façon depuis 1830.

Tous membres de la confrérie du cassoulet, les Not ont demandé à Jean-Louis d’accompagner Tiga en ville.

Ils décident d’aller déguster un cassoulet à l’Auberge La Calèche. Tiga découvre alors les secrets d’un très bon cassoulet de Castelnaudary.

Tiga va faire la prochaine étape de son périple a bord d’une pénichette de location . L’instructeur l’invite à monter sur le bateau et à prendre les commandes. Ces pénichettes, sans permis, sont destinées à l’ensemble des touristes se baladant sur le canal.

Arrivée à Carcassonne, Tiga croise Jean-Louis en tenue de chevalier. Intriguée, elle lui demande la raison d’un tel accoutrement ! Il lui explique alors qu’il fait visiter la Cité en habit médiéval.

Jean-François emmène Tiga sur les remparts de la Cité. La visite animée peut commencer

Enfin, ils vont dans son local, situé à quelques mètres de chez lui, il retrouve Valérie, sa femme. Passionnée comme elle d’histoire médiévale, elle est actuellement en pleine confection de coiffe datant du Moyen-âge.

Tiga arrive à la fin du canal du midi à vélo, devant le Mas de la famille Tarbouriech. Tiga marche quelques mètres au bord de l’étang de Thau pour rejoindre Romain, qui l’attend déjà sur le ponton. Romain Tarbouriech (30 ans) baigne dans l’ostréiculture depuis son enfance. Petit, il allait aider ses parents sur le mas familial. Il fait partie de la troisième génération des Tarbouriech. Si son père développe l’entreprise familiale à l’international, Romain, lui, est davantage spécialisé dans l’innovation. Depuis 12 ans, il a grandement contribué à la mise en place du système révolutionnaire des marées présent sur le parc. Romain est particulièrement fier de la dimension familiale dans la réussite de l’entreprise.

Il ne faut pas traîner car la récolte se fait toujours dans la matinée. Romain lui prête un ciré et tous deux embarquent sur une barge plate.

Arrivés sur les parcs à huîtres, Romain explique le système révolutionnaire qu’il a mis en place pour sa production pour recréer le mouvement des marées …

Quelques mètres plus loin, toujours depuis son bateau, Romain emmène Tiga pour lui montrer sa récolte. Il faut pour cela tirer sur une corde et sortir les huîtres de l’eau.

Revenus à terre, Romain invite Tiga à venir déguster une huître. Celle-ci, en plus de sa cuisson, est cuisinée à la manière Tarbouriech : avec la sauce secrète de sa maman !

Tiga prend maintenant la direction de Sète Elle grimpe vers les hauteurs de la ville.

Tiga rencontre Jean-Pierre, luthier , sur le Mont Saint-Clair.

Puis Jean-Pierre l’emmène dans son atelier. Une guitare de jazz manouche est actuellement en construction ! En plus de la construction, Jean-Pierre répare d’autres instruments.  Ensemble, ils embarquent avec la troupe 22 v’là Georges, une association qui souhaite faire perdurer la musique de Brassens, l’idole de la ville.

Ils arrivent sur le rocher de Roquerols, là où l’artiste aimait se réfugier loin des projecteurs.

Dans une ambiance de fête, la troupe reprend Georges Brassens, l’enfant du pays .

L’équipe d’Echappées Belles Canal du midi

Animateur : Tiga

Réalisateur : Jean-Yves CAUCHARD

Ingénieur du son : Kevin BALLY

JRI: Jean-Marc CHAUVET

Assistants : Julien STERLE - Mathias BRACHO

Assistante de rédaction :  Clément DOMAS