Résumé
Les Pouilles est la région située dans le « talon de la botte » italienne, cette péninsule qui s’avance entre la mer Adriatique et la mer Ionienne…
Tiga découvre le littoral des Pouilles et fait la rencontre de Vincenzo Ottoviano , pêcheur et restaurateur.
Aux côtés de Domenico, Tiga découvre le petit village de Peschici. Ils arrivent devant le « trabucco da Mimi », le restaurant familial créé par leur grand-père. Le trabucco ressemble à une araignée géante plongée dans la mer.
Au volant de sa Fiat 500, Tiga arrive ensuite dans le village charmant de Locorotondo. Au détour d’une rue, elle rencontre Anna Maria qui lui a donné rendez-vous devant la maison où elle a grandi. Ici et là, on devine des fermes composées de trulli, des constructions de pierres sèches aux toits coniques qui font la renommée de la région.
Tiga fait alors la connaissance de toute la famille Aprile : son mari œnologue, sa fille Stefania, son beau-fils et son petit-fils. Toute la famille habite ici à l’année. C’est Anna qui prépare tous les jours les repas pour ses clients : elle confectionne les pâtes – ces fameuses orrechiette créées dans les Pouilles.
Tiga rencontre ensuite Marco sur le belvédère qui offre une superbe vue sur la ville de Matera.
Ils arrivent à la place principale où se trouve la boutique artisanale de Marco. Tiga découvre son activité : la fabrication de curieux sifflets en forme d’oiseaux
Matera est l’une des plus anciennes colonies de peuplement toujours habitées de l’histoire, qui remonte au paléolithique. De l’autre côté du ravin, on peut voir les formes simples des grottes néolithiques où les gens vivaient il y a 7000 ans.
Tiga poursuit son voyage jusqu’à Polignano a mare, la carte postale la plus populaire des Pouilles. Cette ville, perchée à 25 mètres de hauteur à pic sur la mer adriatique, est une merveille de la nature. Les maisons blanches, faites de pierre et de chaux se ressemblent.
Elle se rend à l’église de la Trinité. Don Gaetano, surnommé « Don Amore » se prépare à officier la messe.
Tiga réalise la popularité du prêtre au gré des différentes rencontres qu’il fait et des personnes qui viennent à sa rencontre
Tiga déambule le lendemain dans la ville de Lecce. Au détour d’une rue, elle voit une femme en train de danser, pieds nus, accompagnée de jeunes apprentis. Elle décide d’aller à leur rencontre. Serena d’Amato, 35 ans, danseuse de pizzica pizzica, une variante apulienne de la tarantelle et enseignante de cette danse aux plus jeunes à Lecce.
Tiga découvre la ville qui a des allures de musée à ciel ouvert, et les deux jeunes femmes arrivent finalement sur la place la plus connue de la ville apulienne : la Piazza Sant’Oronzo.
Elles arrivent devant l’amphithéâtre romain qui trône sur la place principale de la ville : une des merveilles de la ville de Lecce.
La ville compte plus de quarante églises et au moins autant de palais, construits ou rénovés pour la plupart entre le XVIe et la fin du XVIIIe siècle. Portails, fenêtres, balcons, arcades, gargouilles, colonnes et maints autres éléments décoratifs incitent à marcher dans Lecce le nez en l’air.
Pour clôturer cette journée en beauté, Serena propose à Tiga de la suivre sur une place. Elle retrouve tous ces musiciens, et d’autres danseuses. Le voyage de Tiga se clôture sur des airs de pizzica pizzica !