Résumé
À plus de 17 000 km de Paris, au cœur de l’océan Pacifique, se trouve l’une des destinations les plus paradisiaques sur Terre…l’archipel Français de Nouvelle-Calédonie.
Il est 6h30 du matin à la montre de Tiga, et le soleil est déjà bien levé depuis plus d’une heure…
Encore un peu sous l’effet du décallage horaire,( 24 h de vol ) elle commande un thé à une terrasse de l’Anse Vata.
Philippe vient à sa rencontre. Philippe FROLLA, est le directeur du restaurant-base nautique « Le Ponton » mais aussi un plongeur engagé dans l’étude de la faune sous-marine.
Comme chaque matin, Philippe commence par faire le tour du marché.
C’est l’occasion pour Tiga de découvrir la diversité des poissons du lagon dont les Calédoniens sont friands…
Avant de l’emmener à son restaurant, Philippe propose à Tiga de lui faire découvrir la place des Cocotiers, centre névralgique de l’activité sociale de Nouméa. Musique, danseurs, groupe de femmes en discussion, il y a toujours de la vie ici !
Tiga aide Philippe à charger le bateau. Ils quittent le port et prennent le large en direction du « Ponton ».
Sébastien termine de préparer le déjeuner et apporte à Tiga et Philippe une assiette de plusieurs poissons tout juste préparés.
Plus tard, Tiga est dans un avion.
Elle découvre par le hublot l’océan et la beauté intime de celle que l’on surnomme « l’île la plus proche du paradis », Ouvéa.
Tiga y est accueillie par Marjorie, sculptrice sur bois .
Marjorie évoque sa double culture. Une mère corse, un père kanak et une vie entre métropole et son île racine, Ouvéa.
Marjorie travaille de façon raisonnée. Elle ne s’intéresse qu’aux arbres coupés par nécessité ou tombés lors des tempêtes. Marjorie emmène Tiga récupérer une souche pour la travailler le lendemain à l’atelier.
Marjorie demande à Tiga de choisir un animal totem. Elle se lance ensuite dans le tracé du motif au crayon. La sculptrice passe à la découpe afin d’atteindre la forme de base. Puis elle affine la pièce avec une meule et un papier de verre de plus en plus fin.
Tiga rejoint ensuite Antoine, 51 ans, pêcheur de métier, enfant du pays, qui l’attend pour lui parler de son territoire et de l’animal le plus célèbre de la baie : le requin !
Tiga est aussi impatiente qu’inquiète d’en savoir plus sur la nurserie aux requins qu’Antoine propose de faire découvrir aux curieux.
Ces requins sont curieux mais inoffensifs. L’instant est unique, magique. Antoine rappelle à Tiga qu’il est important d’être prudent mais qu’au-delà des faits divers, les requins sont indispensables à l’équilibre du monde sous-marin…
Tiga est maintenant installée sur une serviette de plage de Poé. Elle a rendez-vous avec Sophie et son mari Olivier.
Sophie arrive sur la plage, à cheval. Sophie descend de sa monture et invite Tiga à la suivre pour rejoindre Olivier qui est déjà en train de préparer l’activité qui s’annonce : un vol en hydravion !
Ensemble, ils survolent le lagon, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco. Ils passent également au-dessus du cœur de Voh et du légendaire trou bleu d’Oundjo.
Le jour suivant, Tiga arrive en voiture sur dans un ranch. Elle est accueillie par Jérôme (et son frère Thomas).
Jérôme et Tiga prennent chacun un cheval et arpentent la propriété. Ils atteignent finalement un point de vue somptueux. La mer d’un côté, la montagne de l’autre… Toute la diversité de l’île en un panorama.
Tiga a rejoint la superbe île de Lifou.
Elle s’arrête devant un magasin de tissu. C’est dans un magasin de tissus que l’attend Justine, sa guide .
Dans le magasin, Justine conseille Tiga sur les cadeaux adaptés à la coutume. Car il y a des codes à respecter en arrivant dans une tribu.
Tiga donne au cousin l’ensemble de ses présents : du tissu, du tabac, un billet et un souvenir de France.
Justine prend la tête du convoi qui mène à sa grotte. Tiga découvre enfin cette merveille de la nature.
Une surprenante falaise émerge au milieu de la forêt avec à ses pieds un gouffre d’une trentaine de mètres. La rivière souterraine de 20m de profondeur est quant à elle d’une grande clarté.
Tiga et Justine retrouvent ensuite la tribu. Plusieurs membres de la famille de Justine sont déjà présents.
Ce midi, Serra Kazone, la maman de Justine, prépare un bougna, LE plat traditionnel kanak
Toute la tribu est rassemblée autour du feu avec Tiga. Pas de chant, ni de danse tribale. Simplement une prière afin de bénir ce repas. Un repas possible grâce aux ressources de l’île. La coco nichée dans les arbres, les ignames ramassées un peu plus loin, le poisson fraîchement pêché… C’est donc avec respect et gratitude que Tiga savoure le plat et l’instant.