Résumé
Tiga marche dans les rues d’Avignon et se dirige vers le Rocher des Doms qui abrite le jardin du même nom.
| Laurence Belvisi, propriétaire d’une maison d’hôte incroyable située au cœur d’Avignon accueille Tiga. Originaire de Paris, elle s’est installée dans le Sud de la France il y a 10 ans. Amoureuse du Vaucluse, elle a consacré à la région un magazine : « Passion Provence ». Sa maison est une surprise au cœur de la ville. Elle est située dans l’ancien quartier des taffetassiers à l’époque où l’art de la soie fait la réputation d’Avignon. |
En chemin, elles découvrent les petites rues du centre historique. La meilleure manière selon Laurence de s’imprégner de l’ambiance avignonnaise. L’occasion de découvrir quelques lieux emblématiques
Un peu plus tard, Tiga est dans le centre historique de la ville :elle a rendez-vous au célèbre Palais des Papes.
Tiga aperçoit un groupe participant à une visite guidée. Une fois la visite terminée, Tiga demande au guide, Jérémie, où elle peut trouver Thierry, l’apiculteur, qui lui a donné rendez-vous au Palais.
| Thierry Azzolin, 52 ans, est apiculteur depuis 10 ans. Après une carrière de directeur général pour une petite marque de cosmétique, il décide de revenir à ses premières amours : les abeilles. Né en Provence, il s’occupe aujourd’hui d’une quinzaine d’installations de ruches dans la région. |
Le lendemain matin, Tiga a rendez-vous aux halles d’Avignon avec Séverine.
Elle retrouve la jeune cheffe devant ce bâtiment à la façade végétalisée.
| Séverine Sagnet, est une cheffe passionnée. Son lieu de travail est l’incroyable cuisine du XIXème siècle de La Mirande. Sa volonté, faire vivre à ses clients une expérience sensorielle de la cueillette du produit à sa dégustation. |
Aujourd’hui Séverine est une cheffe atypique, elle propose à ses clients de découvrir le quotidien d’un chef : de la quête du produit à sa dégustation en passant par sa préparation.
Séverine a déjà fait quelques courses dans les halles couvertes. Elle propose à Tiga de l’accompagner sur l’île de la Barthelasse, le poumon vert d’Avignon, où elle a l’habitude d’aller en vélo.
Séverine présente Numa à Tiga
| Numa, «38 ans travaille à la Reboule. La ferme familiale depuis quatre générations. L’exploitation de 16 hectares produit 150 variétés différentes. La spécificité de la ferme : une sensation de pleine campagne à 500 mètres du Rocher des Doms. Numa travaille avec ses deux frères Clément et Mathieu. |
Une fois les légumes récoltés, les jeunes femmes repartent paniers garnis vers la cuisine de Séverine.
La jeune cheffe lui donne un cours dans une ambiance atypique due au lieu exceptionnel : une cuisine du XIXème siècle. Au menu : agneau et légumes grillés, arrosés d’un filet d’huile d’olive de Provence.
Plus tard dans la journée Séverine et Tiga sont en voiture dans l’arrière-pays.
Séverine, passionnée d’escalade, emmène Tiga faire gravir les Dentelles de Montmirail : une activité très prisée des avignonnais.
Avant de rejoindre leur guide, la cheffe tient à montrer à Tiga ce joli village connu pour ses vignes : Gigondas. En allant visiter le domaine du Château Saint Cosme.
Le lendemain matin Tiga s’est réveillée après une nuit de repos dans sa chambre d’hote . Elle prend son petit déjeuner dans le jardin.
Laurence a pour habitude de chiner des objets en brocante le week-end. Elle propose à Tiga de l’accompagner.
La brocante, c’est le lieu de rencontre incontournable des avignonnais. Depuis quelques jours Laurence cherche « un vase » pour décorer sa maison d’hôte. L’occasion de découvrir une habitude des habitants qui s’y baladent, s’y rencontrent et y dénichent de jolies trouvailles.
C’est ici Laurence annonce a Tiga qu’elle va se marier . Pour marquer ce jour, Tiga veut faire une surprise à Laurence .
Elle la conduit au centre de parachutisme de Pujaut. Sur place, elles rencontrent Gwen, le moniteur de l’équipe du centre.
Il va leur faire vivre une chute libre dans un simulateur : une bulle en plein air qui souffle de l’air.
En ce dimanche matin, Tiga se rend à la basilique Notre – Dame – des – Doms, le plus vieil édifice religieux de la ville. Elle entend de la musique et entre.
Luc et André sont perchés dans la basilique, l’un pianote sur l’orgue alors que l’autre joue du galoubet (sorte de tambour provençal).
A l’orgue, Luc Antonini, accompagné d’André Gabriel – au galoubet – joue une mélodie sacrée du XVIIème siècle : le Noël de Notre – Dame – des – Doms.
Dans cette église, on celèbre encore la messe en Provencal .
| A Carpentras, Tiga fait la connaissance de Brune, habitante de Carpentras, qui a fondé il y a trois ans « La Manufacture du siècle ». Passionnée par l’aromathérapie et très attachée à la valorisation du local, et a concilié ses valeurs pour créer une savonnerie traditionnelle. Aujourd’hui accompagnée de sa sœur Isaure, elle vit son rêve de création dont l’objectif est clair : utiliser des matières premières locales et les mettre en valeur dans des savons authentiques. |
Elle propose à Tiga de l’accompagner chez Benjamin, un producteur d’algues. Un produit dont elle se sert pour ses savons.
Brune et Tiga se rendent à pied dans l’exploitation de Benjamin.
| Benjamin, 41 ans est producteur de spiruline depuis 10 ans. Cette microalgue aux pouvoirs antibactériens, chargée en bétacarotène, s’épanouie particulièrement dans les bassins sous serre de Benjamin grâce au climat chaud et sec du Vaucluse. |
Dans le centre historique, les jeunes femmes rejoignent Isaure, la sœur de Brune qui est en pleine fabrication de savon dans leur boutique .
Algues à la main, Brune fait découvrir à Tiga les étapes de fabrication d’un savon de la manière la plus traditionnelle qui soit.
C’est dejà la fin du week end de Tiga. Mais son expérience décoiffante dans le simulateur de chute libre lui a donné des idées . Elle retourne à l’aérodrome pour vivre des sensasions fortes . Très fortes …