Résumé
Tiga est sur l’eau à bord d’une gabare, accompagnée par Ugo. Il est en train de lui chanter une chanson de gabarier : « C’était le temps des gabariers / Qui descendaient au fil de la Dordogne / Sur leurs bateaux qu’ils conduisaient /Du haut pays jusqu’en basse Gascogne ». La chanson terminée, Tiga le remercie pour cette démonstration. Ugo explique à Tiga que son métier de comédien l’a mené sur cette gabare. Bateau sur lequel il fait revivre à ses passagers l’époque des gabariers. Tiga et Ugo arrivent à Argentat-sur-Dordogne dont ils découvrent les quais. Tiga se rend en voiture vers la chartreuse de Calès. Elle arrive sur les lieux où Stéphanie – la propriétaire des lieux – l’accueille Tiga la remercie elle y a d’ailleurs rendez-vous avec Luc le pêcheur du restaurant du château. Luc invite Tiga à venir pêcher avec lui. C’est une pêche au leurre que Luc a prévu de faire découvrir à Tiga aujourd’hui. Un moyen de découvrir sa passion, mais aussi de profiter de la rivière dans un cadre enchanteur, au pied du château de la Treyne. Les deux amis remontent avec leur poisson au château, où Luc présente Stéphane – le chef étoilé des lieux – à Tiga. Le lendemain, Tiga marche vers le terrain de rugby du village de Martel. Un groupe d’amis est en pleine partie de ballon ovale. Adrien vient à la rencontre de Tiga. Adrien est restaurateur. Il propose à Tiga d’aller découvrir le produit qui embellit ses plats : la noix. Ils se rendent sur l’exploitation familiale. Une fois arrivés sur l’exploitation, Tiga découvre 43 hectares de noyers. Ces arbres permettent à Adrien et à sa famille de produire près de 100 tonnes de noix par an. Plus tard, Tiga se dirige vers la fontaine Saint Georges où Alain l’attend. Si Alain a donné rendez-vous à Tiga ici, c’est pour lui montrer la résurgence de la rivière souterraine qu’il côtoie tous les jours au Gouffre de Padirac. Il est temps pour Alain d’emmener Tiga découvrir son impressionnant lieu de travail. Tiga et Alain arrivent au Gouffre. Tiga y découvre un trou de 35 mètres de diamètre qui plonge à 75 mètres de la surface du sol. Tiga et Alain prennent l’ascenseur puis des escaliers pour y descendre. De retour à la surface ,Tiga marche dans Rocamadour sur le « chemin du Sanctuaire ». Elle aperçoit Cédric, perché en haut d’un arbre. Il est en train de sécuriser le chemin en entretenant la végétation. Aux jardins de Limeuil en pleine nature, il termine de préparer un bivouac, en hauteur bien sûr. Cette nuit, Tiga dormira la tête dans les arbres. Une fois le bivouac prêt, Cédric aide Tiga à grimper dans l’arbre qui l’accueille pour la nuit. Le lendemain matin Tiga se réveille dans les arbres, avec une vue imprenable sur la Dordogne. Cédric et Tiga sont sur les bords de la Dordogne. Cédric a prévu de partager avec Tiga l’une de ses activités préférées : le canoë. Les deux amis mettent leur canoë à l’eau. La navigation en canoë est un moyen idéal de se déplacer sur la Dordogne : ils avancent au rythme de l’eau et peuvent observer la nature environnante dans un calme apaisant. En avançant sur l’eau, ils aperçoivent le château de Castelnaud. C’est là que s’arrête leur navigation. Après cette découverte, et avant que Tiga reparte, Cédric lui a préparé une dernière surprise : elle va descendre en rappel sur l’une des façades du château. Cédric et Tiga s’équipent. Ils entament leur descente, une chance extraordinaire sur un bâtiment comme celui du château. Tiga est au pied du château de Castelnaud, elle y aperçoit Thibault en train de commencer à préparer une montgolfière. Elle le rejoint. Thibault montre à Tiga comment préparer une montgolfière au départ. Il faut préparer la nacelle, les brûleurs et le gonflage du ballon. Une fois que tout est prêt, c’est le moment pour Tiga et Thibault de s’envoler. Puis Thibault fait prendre de l’altitude à la Montgolfière. Tiga admire la vue du château de Castelnaud. Depuis le ciel, la vue sur la Dordogne est exceptionnelle. Thibault montre à Tiga le chemin que prend la rivière et lui raconte l’histoire des paysages, et châteaux qu’ils aperçoivent. Thibault explique à Tiga qu’après avoir parcouru le monde entier en montgolfière, c’est bien ici au-dessus de la rivière, qu’il préfère s’envoler. C’est la tête dans les nuages que Tiga termine son voyage.