Résumé
Cap Vert: de Santiago au volcan Fogo…
Au marché de Assomada, Jérôme slalome entre les différents stands : on y trouve les produits locaux. Jérôme est accompagné de Gilson qui est un enfant de Tarrafal, un village non loin.
Les habitants d’Espinho Branco se lèvent pour commencer la journée au rythme des envies de chacun. Les Rebelados, qui reçoivent Jérôme aujourd’hui. Jérôme participe aux différentes tâches quotidiennes. Il est l’heure du petit déjeuner, qui est en train de se préparer chez Beta. Les femmes ne mangent pas en même temps que les invités. Jérôme déguste donc son repas de son côté avec Jacques. Après le repas toute la communauté s’affaire dans différents domaines artistiques : céramique, peinture sur azulejos, tissage, peinture, notamment dans l’atelier de Sabino où l’on s’initie à l’art Rabelados.
Dans l’ombre de Cesaria Evora, la musique continue à animer les rues de Mindelo. Une île plus proche de ses racines africaines et influencée par son voisin portugais le Brésil, la vie est rythmée par la musique et la chaleur ambiante.
L’avion de Jérôme vient d’atterrir sur l’ile de Sao Vicente, la seconde île la plus peuplée de l’archipel et le berceau de Cesaria Evora. Qui mieux qu’Aniceto, fabricant de guitares, pour accueillir Jérôme ?
Immersion dans un village de pêcheurs appelé Sao Pedro. C’est dans ce petit port de pécheur, Sao Pedro, que João, un professeur de surf, a l’habitude d’emmener ses amis pour découvrir la faune marine. Les pêcheurs reviennent de leur matinée en mer, les filets pleins de poissons. Ce sont les femmes qui s’en occupent. João et Jérôme profitent de ce mouvement général pour monter à bord d’une des voitures des femmes qui partent pour le marché.
Sur le port de San Anton, l’île voisine, on peut s’approvisionner avant d’entamer les randonnées pour explorer l’île, et on peut aussi emprunter un ‘aluguer’, un taxi collectif pour se rapprocher du point de départ. C’est parti pour un petit tour mouvementé dans l’arrière du camion, à s’engouffrer dans le paysage sauvage de San Anton ! Sur cette île sauvage, on y trouve la paix et la sérénité d’une île encore un peu isolée du commerce et du tourisme. Joao y a trouvé sa niche et pratique du surf et du trek.
À bord de la Jeep, chargée de leur sac et planches de surf, ils sont en route. Le paysage est fascinant, pas sec comme les autres iles, et peu peuplé, à l’exception d’agriculteurs éparpillés dans différentes vallées de l’île. Joao invite Jérôme à faire une petite halte chez Sandro, un français, qui tient un guesthouse et qui transforme les fruits locaux en jus avec une technique ancestrale.
Dans un petit avion, Jérôme survole l’ile de Fogo, avec son volcan en activité, et atterrît dans le petit aéroport de Sao Filipe. Il récupère son sac à dos et va a l’hôtel y déposer ses affaires avant de retrouver Leo. Sur cette île, les habitants sont conscients que le volcan peut s’activer à tout moment, et ils ont appris à s’adapter.
Au restaurant de Leo, ils mangent un bon plat avant la grande randonnée prévue le lendemain pour se rapprocher du volcan. Jérôme et Leo sont en route à bord d’une jeep pour se rendre au plus près du Pico de Fogo. La randonnée ne peut se faire sans l’accompagnement d’un guide autorisé. On retrouve donc Theo Montrond qui donne quelques consignes. il est possible de randonner sur les coulées de lave impressionnantes. La qualité de l’air est aussi très chargée en dioxyde de soufre potentiellement nocif. . Même sans trop s’approcher du volcan, cette ile fascine par son paysage lunaire, et par l’espoir qui règne sur la reconstruction et le futur des villages et de ces habitants.