Résumé
Derrière la carte postale d’Etretat et ses falaises majestueuses, se cachent des villages nichés moins connus, mais surtout des visages qui entretiennent et profitent discrètement du charme de ce bijou normand qu’est la Côte d’Albâtre.
Tiga prend les escaliers pour rejoindre la plage d’Etretat, Cyriaque l’attend sur la promenade face à la mer. Cyriaque Lethuillier est né au Havre mais a passé beaucoup de ses week-ends sur les falaises d’Etretat et notamment au cap d’Antifer où habitait alors son grand-père éleveur de vaches normandes. Il est aujourd’hui technicien garde littoral et depuis 11 ans, il propose sur son temps libre des visites « naturalistes » guidées des falaises d’Etretat.
Ensemble, ils remontent la rue principale de la ville, Incollable sur l’historique d’Etretat, Cyriaque n’arrête pas de conter de nombreuses anecdotes à Tiga.
Tiga et Cyriaque sont ensuite sur la plage d’Etretat. C’est marée basse. Epuisette à la main, ils font de la « pêche à pied de découverte ».
Il propose à Tiga d’avoir une autre perspective des falaises en se rendant au sommet. Ils remontent tous les deux sur les falaises en passant par l’escalier.
Ils arrivent sur la falaise d’Aval où Cyriaque en profite pour raconter l’histoire géologique de cette arche, à laquelle le site d’Etretat doit toute sa célébrité.
Tiga marche le lendemain dans les rues du Havre. Elle arrive dans l’atelier de vitrailliste de Ludivine. Dans son atelier situé en plein centre-ville, elle lui montre les baies de vitraux qu’elle est en train de restaurer pour la ville de Saint-Pierre-en-Port .
Elle explique à Tiga son métier, les techniques précises qu’elle applique et qu’elle a acquises au gré de ses plusieurs expériences.
Après cette initiation dans l’atelier, Ludivine propose à Tiga de lui montrer la beauté du vitrail qui règne dans l’église Saint-Joseph.
Elle se rend ensuite dans la boulangerie « Maison Portier » une des boulangeries les plus réputées du Havre.
Dans la queue pour acheter son croissant, elle y fait la rencontre de Vincent Trottin , meunier qui est venu récupérer ses commandes pour livrer sa farine la semaine prochaine. Il propose alors, à Tiga de lui montrer comment il produit sa farine.
Tiga roule le lendemain sur les hauteurs de Fécamp à bord de sa voiture, elle se gare au niveau de la Chapelle de « Notre Dame du Salut ». Elle y retrouve Daniel Billiaux, qui admire la vue sur SON port, devant la chapelle surnommée la « chapelle des marins ». Daniel Billiaux, est propriétaire de la Vierge de Lourdes, la dernière caïque qui existe et qui a été construite en 1949 à Fécamp.
Une fois à bord, Tiga s’essaie au hissage des voiles avec l’aide de Daniel et des autres matelots. Tiga va découvrir la spécificité de la caïque qui peut s’échouer sur une plage de galets : une technique typique de la côte d’Albâtre.
A leur retour à Fécamp sur la terre ferme, Daniel propose à Tiga d’aller manger dans son restaurant préféré du coin : chez Nounoute.
Tiga est de nouveau au volant, elle se gare puis déambule dans le charmant village de Veules-les-roses.
Elle arrive sur la place de l’église elle tombe nez à nez avec la camionnette de Jean-Louis « Tartes et gourmandises ». Elle le retrouve et il lui propose de faire la connaissance de ses amis qui vendent d’autres produits sur le marché. Tiga propose son aide à Jean-Louis pour vendre ses tartes salées. Tiga découvre ensuite le village normand. Jean Louis tient à lui montrer la particularité du village, son fleuve (plus petit de France).
Ils arrivent à la source du fleuve et explique à Tiga la culture du cresson, surnommé « l’or vert de Veules-les-roses ».
Tiga se gare sur le port de Dieppe, elle rejoint la plage à pieds et y rencontre Stéphane. Originaire de Dieppe, il habite aujourd’hui et depuis 13 ans à Offranville (commune à 7km de Dieppe). Son grand-père lui a acheté son premier cerf-volant alors qu’il avait 13 ans, sa grand-mère lui a appris à coudre ses autres-cerfs volants et il a commencé à faire de la compétition de cerf-volant acrobatique/sportif en équipe à 15 ans.
Stéphane propose à Tiga de l’accompagner jusque chez lui où il a son atelier de conception de cerfs-volants. Stéphane demande à Tiga si elle veut bien l’aider dans la conception de son dernier modèle le Flamingo. Après avoir fini, ils partent tous les deux en voiture rejoindre la plage où se retrouve le club de cerf-volant dieppois tous les samedis de la fin du mois.
Une fois la leçon terminée, Tiga s’installe pour admirer le balai des cerfs-volants synchronisés.