Résumé
Maroc, l’éternel enchantement
Sophie est attablée sur le toit-terrasse du Dar Nour. La Kasbah domine la médina de Tanger, la rebelle marocaine. Jean-Olivier, gérant de la chambre d’hôtes et amoureux passionné de Tanger propose à Sophie de l’accompagner .
Ils entament leur tour par le marché des producteurs, le marché aux tissus où dans un caravansérail, les artisans travaillent encore sur des ateliers mécaniques, puis ils se rendent dans la meilleure boulangerie de la ville.
Quelques kilomètres à l’ouest de Tanger, Sophie découvre les abords plus sauvages de la côte. Le Cap Spartel et son phare veillent sur l’entrée du détroit de Gibraltar… en face, c’est l’Espagne ! Elle arpente la plage avec Jean-Olivier, un ancien journaliste qui a posé ses valises à Tanger.
Sophie fait route vers Chefchaouen. Elle est avec Abdellatif, chauffeur de taxi, natif et amoureux de Chefchaouen. Tous les deux font le tour de la ville à pied. Là, des femmes repeignent les murs en bleu…
Sophie est dans le quartier moderne – la ville nouvelle – dans le nord de Meknès. Celle-ci, cinquième ville du Maroc par sa taille et une des quatre villes impériales, est marquée par le sultanat de moulay Ismaïl , qui en a érigé les monuments principaux. Sophie y retrouve Hanane, jeune meknessie dynamique. Elle descendent à la place El-Hedim, qui marque l’entrée de la médina. Elles passent aussi devant le portail de Bab Mansour, la plus importante des portes de Meknès.
Hanane se partage entre sa vie perso dans la ville nouvelle, et son activité dans son centre équestre, à Tamnayte, dans la commune d’Ain Aghbal.Sophie et Hanane retrouvent les étudiantes chez Hanane. Celles-ci, complices, sont en train de prendre leur petit-déjeuner avant de rejoindre les écuries.
Au signal d’Hanane, les filles se mettent en place pour une démonstration de tbourida. Sophie se laisse former par Hanane et les filles, avant de les laisser faire le « baroud ».
Sophie est à Volubilis, le nom donné aux ruines les plus importantes du Maroc, et figure sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Tarok conduit Sophie au domaine de la Pommeraie où il faut traire les chèvres.
La femme de Tarik, Badria est en train de commencer à préparer le couscous. Tarik emmène Sophie cueillir les fèves – c’est la saison ! – dans son potager afin de les inclure au déjeuner. Le temps de cuisson du couscous, Tarik emmène Sophie dans un village berbère.
Dans le labyrinthe de la vieille ville de Fès, que Sophie suit Layla, architecte de formation. Elles poussent la porte des ateliers, et se font initier au travail méticuleux des artisans. Layla a une surprise pour Sophie… elle l’emmène rencontrer un ancien tanneur, aujourd’hui restaurateur, qui se trouve être également… acrobate !
Sophie part rencontrer chez elle, dans la ville nouvelle, Nouhaila al Kalai ,14 ans, et ses parents… L’adolescente est une jeune prodige du malhoun, chant traditionnel marocain.
Un peu plus tard, Sophie prend le chemin de la répétition de malhoun, avec Nouhaila. Elles se rendent jusqu’à la Maison de jeunesse de l’association Mohammed Bouzemaa, où Nouhaila a grandi et appris le chant, depuis petite.
Son premier professeur, Fouad Amri, est là aussi, pour diriger la chorale. Nouhaila se prépare et se met à chanter… sa voix de jeune fille timide se/la transforme, sous le regard fier de son papa, Abdellatif, de Sophie et Layla.