Résumé
Ce matin, Quentin et son grand-père Loulou s’affairent sur les voies ferrées, aidés par Jérôme. Le train à vapeur « Coni’fer » n’existe que sur 10 km mais Loulou s’est fixé comme objectif d’aller jusqu’à Metabief, la station de ski.
Tout est prêt pour le grand départ de la locomotive à vapeur .La locomotive est en route. Des paysages défilent.
Après son périple en train à vapeur, Jérôme rencontre Philippe qui, depuis 20 ans, revisite les horloges traditionnelles et invente même de nouveaux mouvements. Une dizaine de ses horloges vivent dans la ville. Ils se rendent ensuite dans l’atelier de cet horloger très particulier.
Plus tard, Vincent, charpentier de marine et bucheron, l’invite à se joindre à lui. Sur le lac d’Ilay, la brume est en train de disparaitre, Jérôme contemple la nature aux côtés de Vincent. Ce fou de voile a préféré travailler des bateaux qui peuvent aller partout, et qu’il peut transporter chaque jour sur tous les lacs.
Les deux hommes vont ensuite à la découverte de l’atelier de Vincent qui fabrique des embarcations 100 % jurassiennes. Ses créations sont loin d’être de simples canoës, le bois est noble et il les vend à prix d’or à des clients du monde entier.
Vincent est également bucheron. Comme il le dit, il a du mal à passer une semaine sans tenir une tronçonneuse. Jérôme écoute attentivement les conseils de Vincent pour couper le bois.
Jérôme atteint la Pesse et la maison jurassienne de 1835 de Dominique et Emile. Tous deux sont mushers, amoureux du Grand Nord, et vivent entre le Jura et la Finlande. Ils proposent à Jérôme une balade en traîneau.
Jérôme rejoint David qui est en train de terminer la traite de ses vaches. Son frère Adrien arrive en camion. Il est chargé de collecter le lait dans les 17 exploitations environnantes pour la fruitière de comté. La traite du jour est déversée dans la citerne.
Jérôme se rend à la cave du Fort Saint Antoine où Claude Querry, célèbre maître – affineur, veille sur des milliers de meules de comté. L’accueil est assuré par le maître des lieux. Il parle de son travail d’affineur, tel un « œnologue ». Claude, lui, appelle ça la « caseologie ».