Résumé
Tiga est dans le quartier du Pelourinho, cœur battant de la ville de Salvador de Bahia.
Au milieu de ces façades colorées, Tiga a rendez-vous avec Bira devant la casa Jorge Amado, lieu de rendez-vous et de rencontre des habitants de Salvador.
Bira propose à Tiga une virée dans la ville de Salvador de Bahia. Fou amoureux de l’endroit où il est né, de son histoire si riche, il raconte à Tiga l’histoire du quartier, de l’influence afro-brésilienne très présente à Salvador.
Bira, musicien de profession, décide d’emmener Tiga dans un des endroits qui est lui est très cher : la boutique où il achète ses instruments depuis une dizaine d’années.
Dinho explique à Tiga la particularité de fabrication de l’atabaqué.
Plus tard, Tiga est sur la plage de Barra et aperçoit un photographe au loin qui prend en photo un groupe de capoiera sur la plage. La capoeira – une forme d’art afro-brésilienne qui mêle arts martiaux et danse – est née dans les plantations de sucre de Bahia, où les esclaves vivaient entassés. Là, sous le couvert de la nuit, ils s’entraînaient à l’autodéfense. Pour cacher leur entraînement physique à leurs maîtres, ils se mirent à y incorporer des figures acrobatiques et des danses, et à y ajouter le rythme d’instruments de percussion rudimentaires.
Tacun explique à Tiga son métier et l’envie pour lui de retranscrire au quotidien la culture si précieuse et si unique qui est présente à Salvador de Bahia.
Jen et Tiga se rendent dans une boutique de bijoux « Pau Brasilis » où Jen aime se rendre sur le temps du week-end. Les bijoux vendus sur place ont la spécificité de n’être que des bijoux faits à partir de pierres trouvées dans l’Etat de Bahia. L’occasion pour Tiga d’en apprendre plus sur le choix qu’a fait Jen d’habiter à Salvador de Bahia.
Tiga retrouve Bira dans le centre de la ville. Le défilé des groupes de musique commence.
Ils croisent le regard de Jen. Au rythme des tambours, la ville de Salvador de Bahia est en pleine ébullition.
Tiga est ensuite dans une voiture accompagnée d’un habitant du village de Diogo. Elle découvre le superbe paysage qui s’étend sous ses yeux. Les cocotiers et les plages de sable fin de l’Océan Atlantique apportent une saveur tropicale à son voyage. Le voyage en quête d’authenticité se poursuit.
Le conducteur la dépose à l’épicerie du village. Sophie lui a donné rendez-vous ici. Sophie invite Tiga à poser ses valises dans un bungalow. Sophie et Tiga déambulent sur le ponton qui est devant la pousada et qui permet de rejoindre la rivière Imbassai.
Proche des habitants du village, Sophie propose à Tiga d’aller à la rencontre de ces personnes qui font la richesse de l’endroit. Très impliquée dans la vie de son village, Sophie ne travaille qu’avec des locaux, elle propose à Tiga de lui présenter une coopérative 100% féminine composée d’une trentaine de femmes qui fait des accessoires, des chapeaux à partir de la paille qu’elles récoltent, cuisent, peignent et filent elles-mêmes.
La dernière partie du voyage de Tiga : Rio . Elle découvre la « cité merveilleuse ». Par-delà les buildings qui jonchent le littoral, elle distingue le pain de Sucre, le Corcovado, les favelas et la jungle qui envahit la ville. Instantanément, Tiga est plongée dans la carte postale brésilienne. Tiga rencontre Juliana , une jeune femme chef de cuisine .Juliana et Tiga vont en direction de la « Colonia de Pescadores» un marché à ciel ouvert de poissons, très typique, en plein cœur de la plage de Copacabana. Depuis des années, Juliana a l’habitude de venir sur ce marché accompagnée d’un Tupperware avec du citron et des échalotes pour cuisiner directement son ceviche sur place. La brésilienne connait tous les pêcheurs de la plage.
Juliana veut aussi montrer à Tiga un des endroits les plus importants de la ville de Rio : le quartier Santa Teresa. En chemin, elles passent par le jardin botanique de Rio. Un des endroits les plus remarquables à visiter dans la cité merveilleuse. Juliana et Tiga finissent leur journée dans un bar « Palaphita Kitch », une institution à Rio, située au bord du lagon.
Pour conclure son séjour , Tiga se rend au Corcovado, au pied du Crist rédempteur qui domine toute la baie de Rio de Janeiro …