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Mongolie, un rêve de liberté.

Résumé

Mongolie, un rêve de liberté

Entre l’aéroport et la ville d’Oulan-Bator, dans son taxi, Raphaël De Casabianca observe le paysage de marchands ambulants, d’échoppes, de yourtes et d’usines.
Mogi souhaite lui faire découvrir ses coins préférées d’Oulan-Bator. L’ambiance est festive en ville, c’est jour de Naadam. La fête nationale bat son plein, et Mogi décide d’emmener son hôte au cœur de la tradition mongole.

Sur le terrain de course des chevaux mongols, l’effervescence est à son apogée. Mogi rejoint des amis qui viennent observer la course. Dans des yourtes avoisinantes, on peut croiser des célébrités mongoles, qui ne rateraient pour rien au monde le Naadam qui est une grande fête populaire.

Raphaël et Mogi se promènent dans la ville. Raphaël peut manger sur le pouce dans un des multiples étals proposant des snacks – les fameux buuz et kuushuur par exemple, à base de viande de mouton. Mogi veut faire rencontrer à Raphaël un chef cuisinier qui veut dépoussiérer l’image de la gastronomie mongole, et propose des plats modernes et raffinés à partir d’ingrédients classiques.

Raphaël et son chauffeur s’enfoncent dans l’immensité des steppes mongoles à bord de leur 4×4. Après plusieurs heures de route, Raphaël finit par trouver le campement de la famille Khulan. Nomades, les Khulan sont installés pour l’été dans un coin de plaine. Raphaël fait donc connaissance avec toute la famille. Les enfants le guident dans la ger : au-delà d’un toit, la yourte traditionnelle est emblématique d’un certain mode de vie, ancré dans les traditions.

La chef de famille s’apprête à préparer le repas. Raphaël met la main à la pâte : après la traite des animaux, il aide son hôtesse à préparer un repas à base de mouton et de nouilles, les ingrédients de base de la nourriture mongole. Ils se rassemblent tous sous la ger principale pour déguster ce repas ensemble, arrosé d’airag, du lait de jument fermenté.

Au petit matin, la famille Khulan s’affaire. Il faut traire les juments et brebis, tondre les moutons et chèvres, et plus globalement s’occuper du troupeau. Si les tâches liées à la gestion du foyer, de la famille, de la nourriture sont plutôt effectuées par les femmes, les déplacements des animaux et les tâches plus dures et plus mobiles sont le territoire des hommes. Ils rentrent au campement dans l’après-midi. Raphaël remercie la famille Khulan.

Au pied d’une montagne plantée de conifères, Raphaël rejoint des moines bouddhistes qui s’apprêtent à en faire l’ascension. Leur objectif : le monastère de Tuvkhun, petit cocon de spiritualité lové sur un flanc de montagne. Pendant une petite heure, Raphaël suit donc les robes safran des moines à travers la forêt. Arrivés au monastère Tuvkhun qui date du 17 e siècle, les moines lui font visiter les lieux et lui racontent leur histoire.

Raphaël se rend dans une école de parapente située non loin d’Oulan Bator. Il décide de s’offrir un dernier coup d’œil sur les paysages immenses et sauvages de la Mongolie avant de refermer le grand livre des souvenirs amassés lors de ce périple. Notre explorateur conclue son voyage et nous donne rendez vous pour de nouvelles Echappées !

L’équipe d’Echappées Belles Mongolie

 

Animateur : Raphaël de CASABIANCA

Réalisateur :  Olivier CORRE

Ingénieur du son : Cécile FOUCHER

JRI: Maxime SOUVILLE

Assistants: Amandine JANIK - Patrick LEFRERE

Assistante de rédaction: Claire HUILLE

 

Rediffusion

Date 1ère diffusion: 10 janvier 2015
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